Sachets brodés... cailloux encore.
Par berenice mollet le mardi, décembre 9 2014, - art textile - Lien permanent
Quelques photos d'une installation quasiment terminée, (il ne me reste qu'un petit caillou à broder, ce n'est que du faire, l'idée, elle, est arrivée à son terme...)
Je ne lui donne pas encore de titre, car en fait, plusieurs se présentent...
Elles sont quatre.... présentées sur un miroir un peu vieilli, imparfait...mais ceci a son importance.....
L'idée serait qu'avec un éclairage en douche, le miroir montre l'intérieur éclairé des ventres des sachets de thé.
Bien que le mot sachet de thé soit masculin, je ne peux m'empêcher de dire elles...
Elles sont nées de ces deux articles là, (c'est là qu'il faut cliquer), venues des sentinelles postées sur mon poêle l'été passé...
Pas de papier donc, mais un fin coton cousu...
Commentaires
Je pensais que c'était ça, de faux sachets à thé réalisés depuis les vrais, j'avais eu une sorte de confirmation en zoomant, mais j'avais encore un doute.
Donc, oui, avec les cailloux, tu as recomposés des éléments déjà présents de ton travail, mais cette fois tu te les ai appropriés pour de bon, et comme tu dis, tu es allée au bout de l'idée.
Pour ce qui est du genre de la sachette, oui, bien sûr, cela fait follicule ovarien en diable, cette sorte de délivrance du caillou emmailloté hors des trompes, il y a tout cela.
Mais c'est très Yang tout de même je trouve, dans les couleurs et la lumière.
Il y a aussi une notion de verticale très forte, la sensation du poids. C'est une culbuta (un culbuto au féminin), arrêtée par sa déhiscence.